Les activités effectuées étaient :
1) L’échange, l’expérimentation, la mutualisation, la synthèse, entre pairs, des outils pédagogiques qui permettent aux formateurs d’utiliser la couleur bleue pour développer les compétences –clés de leurs apprenants les plus démunis : réflexion sur les langages, les symboles de cette couleur, ses valeurs européennes, son impact sur les publics fragiles et sur leur inclusion sociale.
2) La lecture et l’expérimentation de la couleur bleue dans les paysages et jardins hispano-musulmans, à travers la pratique d’inventaires verbaux et photographiques, de carnets de jardins, de répertoires de motifs à réinvestir, à travers photographie et textes.
3) La réalisation de projets personnels de conception de jardins, en s’appuyant sur des plans légendés, des croquis, des échelles, des palettes végétales.
4) L’apprentissage des outils numériques mis à disposition par le partenaire d’accueil, qui permet à l’apprenant, même peu qualifié, d’apprendre à classifier, à observer, à comparer, pour identifier une plante, à travers l’expérimentation d’un clé dichotomique interactive.
5) L’apprentissage de pratiques d’évaluation et d’auto-évaluation, au quotidien et en fin de formation.