Il chemine dans un enchevêtrement de plantes lisses et fragiles dont le lustre du feuillage reflète l’infini du ciel.
L’air frais lui procure un enivrement et une sensation de vertige comme s’il était au bord d’un canyon.
Le cercle ocre du soleil couchant annonce la disparition du jour.
La nuit va devenir un obstacle à sa progression.
Soudain, un rebondissement ! Le croisement d’un marsupilami le plonge dans la stupeur.