Elle apporte au projet une contribution scientifique, dans le cadre de conférences, de séminaires et d’ateliers : écriture, sculpture, photographie, herbier, art postal ; une partie des cours destinés aux apprenants est commune avec ceux de l’École Nationale Supérieure du paysage, partenaire de l’association depuis quatre ans. En outre, l’’École et l’association travaillent ensemble à l’organisation d’une réunion transnationale commune, réunissant les neuf partenaires à l’École Nationale Supérieure du Paysage les 7, 8 et 9 juillet 2014.

Pour l’association Paysage et patrimoine sans frontière, les langages du végétal se déclinent à partir de la rose, qui est abordée dans ses variations expressives, langagières, poétiques, scientifiques et dans ses liens avec l’histoire européenne de l’art.

L’association s’appuie sur les compétences de ses nombreux partenaires à Paris et en île de France, le Musée du Louvre, la Bibliothèque Nationale de France, le Museum National d’Histoire naturelle et, surtout, le Musée National du Moyen-âge, une époque qui est un véritable âge d’or pour la rose.

L’association Paysage et patrimoine sans frontière coordonne également la réalisation et l’installation d’une œuvre transculturelle in process sollicitant la participation des neuf partenaires du projet : une proposition artistique conçue par Aline Rutily, plasticienne et docteur en Sorbonne es Sciences de l’art, à partir de ses propres créations intitulées Tapis-Jardins et en référence avec des mythes fondateurs de la culture occidentale qui s’incarnent dans le végétal du jardin et du tapis.